Contexte militaire et armée.

L'art du combat.

Les armées de Soriyeo, un art de vivre. Alors qu'au fil des cycles, les empires ont développés pouvoir, puissance et orgueil. Le peuple de Soriyeo lui, s'est battu pour faire perdurer ses traditions, sa manière de vivre et sa culture ancestrale.

Une culture, qui au fil du temps s'est fortement vue enrichie par l'art des combats, de la guerre et de la stratégie. A mesure que tel ou tel empire asseyait son pouvoir sur Soriyeo, lui laissant indépendance et lui assurant protection contre les autres empires pour des contre parties de plus en plus élevées. De plus en plus d'hommes et ensuite de femmes ( "Lunes Rouges" uniquement. ) furent tentés par l’acquisition de compétences dans le but de devenir un jour, un des grands combattant qui ferait la fierté de leur royaume.

Au début, tout n'était que prévention et auto-défense face à la menace que pourrait un jour représenter les empires. Mais bientôt, ce fut bien plus. Un farouche besoin d'indépendance se glissa dans le cœur de chacun. Trop de familles voyaient leurs femmes emmenées comme esclaves par les empires. Trop de leurs récoltes et de leurs richesses naturelles atterrissaient dans les caisses d'empereurs à qui ils ne devaient pourtant rien. Bientôt l'idée germa que leur indépendance valait la peine d’être défendue certes, mais bien plus encore de se battre pour elle. Les armées grossissaient en nombre, non pas dans le but de protéger le royaume en cas d'attaque, mais dans le but de décourager les empires de s'en prendre à eux. 

Fort de cet engouement pour les arts du combat, un clan de combattant de distingua des autres. Formés par les grands prêtres du temple de Soyeo dans des techniques minutieuses, alliant rapidité, dextérité et endurance, le clan des "Lunes Rouges" devint bientôt l'élite des armées de Soriyeo. Combattants agiles, grands tacticiens, hommes réfléchis, mesurant tant le prix de la vie que celui de la mort. Nul de leurs coup n'étaient portés sans la précision de leur volonté, qu'elle soit de blesser ou de tuer. Il se murmure que ces fiers combattants sauraient tenir des heures au combat sans que ne tremblent leurs épées ou que sueur ne perle à leurs fronts.

A mesure que leurs notoriétés grandissaient, ils furent envoyés par groupe dans les différentes provinces du royaume et jusque dans le palais royal afin d'insuffler à tous le souffle de leurs arts. Précis, durs, minutieux, intransigeant, ils furent d'abord peu aimés, voir détestés pour êtres ensuite adulés de leurs disciples. Parmi les meilleurs combattants fut choisie la génération suivante, dont la meilleur escouade fut déléguée au service exclusif de sa majesté le roi. Ils étaient les seuls à ne jamais devoir baisser les armes sans ordre royal de la bouche de sa majesté. Depuis, derrière le roi de Soriyeo se dessine toujours les ombres des combattants de l'escouade des "Lunes Rouges".

De par leurs actes héroïques, menés pour repousser les hordes d'envahisseurs des contrées sauvages, ils furent rapidement fort appréciés de tous, parfois même bien d'avantage que le roi. Si certains se sont félicités de les avoir à leurs services, d'autres les jalousèrent et virent en eux une menace. Pourtant toujours, les "Lames Rouges" restent fidèles à leur premier code. "Protéger les descendants du grand Sori Hossuko, le premier roi du royaume de Soriyeo, fondateur du temple de Soyeo et des techniques d'art martiaux inculquées aux "Lunes Rouges".

Les armées de Soriyeo.  

« L’armée Royale de Soriyeo »

- 500 Lunes Rouges. 
- 1000 gardes du palais
- 1200 Lanciers
- 1400 archers 
- 3500 cavaliers lourds
- 3000 cavaliers légers

« Troupes de Jianmung »

- 350 Lunes rouges
- 800 gardes 
- 600 Lanciers
- 900 archers
- 1200 cavaliers lourds
- 1500 cavaliers légers
 

« Troupes de Xinjyun »

- 250 Lunes Rouges
- 600 gardes 
- 700 lanciers
- 650 archers
- 950 cavaliers lourds 
- 900 cavaliers légers

« Troupes d'Altainan »

- 100 Lunes Rouges
- 400 gardes
- 500 lanciers 
- 450 archers
- 650 cavaliers lourds
- 500 cavaliers légers

« Troupes de Feichong »

- 250 Lunes Rouges 
- 700 gardes
- 700 lanciers
- 800 archers 
- 1100 cavaliers lourds
- 1300 cavaliers légers 

« Troupes de Gejiong »

- 400 Lunes Rouges
- 1000 gardes
- 800 lanciers
- 1000 archers 
- 1500 cavaliers lourds 
- 1800 cavaliers légers

« Troupes du temple de Seyeo »

- 1000 Lunes Rouges ( Des apprentis aux hauts gradés. )

L'armée des flots..

La royaume de Soriyeo étant en grande partie bordé par les eaux, la construction de bateaux en plus d'une nécessité est un art maîtrisé qui s'est développé depuis les débuts du royaume jusqu’à l'excellence qu'elle a aujourd'hui. Bateaux de la marine ou simplement de commerces, les navires impressionnent par leurs tailles et par leurs résistances, tant face aux tempêtes que face a des navires hostiles.  

Les bateaux de la marine s'éparpillent tout autour des cotes du royaume afin d'en sécuriser les accès, mais également sur celles des contrées sauvages afin de percevoir toutes approches non autorisées de navires des empires ou de bateaux pirates. En cas d'affrontements, une flotte dite de réserves se tient a la pointe du royaume, dans les eaux qui bordent la cité royale.

S'ajoutant en cas de besoins aux navires de guerre, se trouvent les navires marchands qui peuvent êtres réquisitionner. Ce qui porte le nombre de navires a prés de 500. Si en termes d'armées terrestres le royaume de Soriyeo est désavantagé par rapport aux empires, en terme maritime, il a une supériorité non négligeable. Cela associés a la dureté pour des armées de franchir les contrées sauvages, cela permet au royaume de garder son indépendance, bien que les empires se permettent a faire peser sur Soriyeo quelques menaces afin d'obtenir des tributs de nourritures, d'or et d'esclaves.