Venez parcourir des contrées d'inspiration asiatique, en des temps reculés où régnaient les mystères, l'amour, les complots et la guerre. |
| | Bestiaire Du Monde | |
| | Auteur | Message |
---|
Être Suprême
Messages : 300 Date d'inscription : 19/07/2014
| Sujet: Bestiaire Du Monde Dim 19 Oct - 23:18 | |
|
BESTIAIRE DU MONDE
Au milieu d'une salle croulante sous des centaines de livres, de rouleaux et de vases d'encre, un homme éclairé par la lueur de quelques faibles bougies grattait sans relâche le papier, matière à souvenir et à témoignage. Au milieu de la poussière, ses écrits portaient sur les bêtes de ce monde. Connaissances de sa propre vie ? De voyageurs entendus au coin du feu d'une auberge ? Nul ne sait. Mais cet homme, il le sait. Un chapitre banal et insipide venait de se fermer, et c'est ainsi que le rouleau suivant établissait la liste des monstres de ce monde. Point de cochon ou encore de chiens, ici, sera couché sur papier des bêtes d’intérêts. _________________________________
Le charognard d'écailles et de plumes
Sukabenjāsukēru ya hane
Native de l'empire de Kyang, cette bête s'est rapidement propagée par delà le monde grâces aux grandes guerres précédentes. Le premier rapport faisait cas de l'apparition de la créature, date de l'année 38 du sixième cycle. C'est donc en l'an 638 qu'un rapport officiel vu le jour, accompagné de nombreuses rumeurs et témoins. Après une longue et pénible campagne de défense autour de l'empire, Kyang fut attaqué par un second mal, plus insidieux et malsain. Des cadavres disparaissaient, en partit ou complétement, une fois les batailles terminées. Des soldats et gradées firent le même constat une fois le crépuscule devant eux, des serpents de tailles diverses venaient se régaler des corps sans vie. Pouvant être aussi petit qu'un vulgaire serpent de cours d'eau, qu'atteindre une taille impressionnante, capable d'avaler un bœuf pour les plus imposants, bien que cette croissance anormale ne fut que très rarement observée. Depuis ce jour, l'expansion de la race se fit sans retenue, car la bête n'était pas la cible de l'homme. Symbole de paix, de bonne fortune, mais aussi de malheur et de peine, "Le Charognard" est un être pacifiste et calme, appréciant même la compagnie d'autres êtres vivants, cohabitant en totale harmonie. Il peut se nourrir de petits insectes, de nuisibles tel que des rats, mais lorsque un des membres de l'espèce entre en contact, ou approche d'un cadavre humain, il change radicalement, s'habillant d'un masque de mort et d'épouvante. D'un blanc pur sur l'abdomen et d'écailles grisonnantes reflétant les lumières, le tout orné de plumes d'une couleur dégradé du gris au blanc, collant harmonieusement son corps, il s'agit de la forme de l'animal calme et paisible que tout le monde apprécie. Dépourvu de dents, semblable a la matérialisation de la paix, il est symbole de paix, et témoigne d'un cadre pur et propice à la méditation, si bien que certains se repèrent grâce a ce reptile pour trouver lieu de pèlerinage. Lorsque le coté carnassier prend le dessus, la transformation se fait rapidement, mais sans déformation monstrueuse pour autant, certains apprécient même plus cette seconde forme. Troquant la pureté pour la noirceur, une nuance de bleu foncé parcourt l'abdomen, pour laisser un bleu presque noir sur le reste du corps. La langue d'ordinaire dépourvu de couleur du reptile se teinte de rouge, a l'instar des plumes se développant au niveau de sa tête pour former une collerette des plus impressionnantes via ses plumes, qui disparaissent du reste de son corps en grande partie, laissant quelques-unes de ces dernières anarchiquement, orientés comme des lames anarchiquement. Longueur : De cinquante centimètres à quatre mètres. Diamètre : De deux centimètres à un mètre cinquante environ. Le plus gros spécimen fut découvert en l'an 972, sommeillant sous un charnier, atteignant presque dix mètres de longueur et deux mètres de diamètres, certains disent qu'il s'agissait du chef, du patriarche de cette race. Pour finir, la bête n'est pas chassé par l'homme, sauf par les collectionneurs, ou pour orner de temps à autres armures, vêtements.. La bête, même lors de sa macabre transformation, n'est pas hostile à l'homme, elle devient plus hargneuse et violente, mais certains courageux apprivoisent ce coté malsain de la bête. D'écailles et de plumes, Festoyant en milieu posthume. De plumes et d'écailles, Festoyant après la bataille.
Dernière édition par Être Suprême le Sam 25 Oct - 1:31, édité 3 fois | |
| | | Être Suprême
Messages : 300 Date d'inscription : 19/07/2014
| Sujet: Re: Bestiaire Du Monde Ven 24 Oct - 17:43 | |
|
Griffe d'Obsidienne
Personne ne sait de quel région est native cette créature. Elle était ici au plus lointain que les écrits le relatent. Il s'agit probablement du prédateur le plus commun et aussi le plus connu dans le monde. Les griffes d'obsidienne peuvent vivre dans n’importe quel habitat, sans se soucier de la température, du climat ou du terrain. Prédateurs et machine à tuer, chasser, ce monstre peut établir une véritable société avec ses congénères, et vivre en solitaire, en ermite bestial et sauvage.
C'est aussi ce qui caractérise l'espèce, sa versatilité.
En communauté, la bête ne chasse que pour la survie du clan, afin de subvenir aux besoins de la race. Paisible et uniquement agressive face à un danger réel, il n'est pas rare que de nombreux philosophes et aventuriers voyagent jusqu'à des grottes abritant des dizaines de Griffes d'Obsidiennes... et en ressortir, fort d'une expérience forte et nouvelle. Cette bête est même respectueuse de son environnement.. en groupe. Car ce cas est très rare. Trouver une grotte de Griffes relève de l'exploit, et le plus souvent, ce sont des griffes d'obsidiennes isolées que vous trouverez.
En tant que solitaire.. Belliqueuse, sadique, ces bêtes attaquent n’importe quel être vivant pour leur simple plaisir, pour le goût du sang et le souhait de la mort. Il est l'ennemi des voyageurs et des villageois, des fermiers et du bétail. Bien qu'une bête traqueuse et intelligente lors de la chasse, lors d'un affrontement brutal et direct, l'intelligence n'est pas la force de la créature. Ce qui la sert bien en revanche, est son imposante musculature, sa masse musculaire écrasante et ses griffes acérés. Ajoutant à cela cette queue l'aidant pour des mouvements de balancier, optimisant l'équilibre de la bête, ces protections aux pattes, et vous obtenez un adversaire de taille.
Car en effet, outre sa couleur, cette bête porte le nom de "Griffe d'Obsidienne" pour l'armure naturelle qui orne ses pattes : de l'obsidienne. Bien moins cassante que l'obsidienne minérale, cette obsidienne "organique" est la première raison de la chasse de cette créature, pour fabriquer des armes, des armures, des décorations...
La seconde raison est la "coiffe" de bête. Ces griffes ornant son dos sont des marques d'ancienneté. Pour deux années, une rangée pousse. Pour chaque année passée, la bête se développe, grandit sans relâche, devenant de plus en plus redoutable. Ainsi, la coiffe de la bête est un des trophée les plus prisées de par le monde. Cette coiffe permet aussi à l'homme d'évaluer la force et l’expérience de la bête.. Jusqu'ici, les spécimens les plus anciens retrouvées vivaient environ une quarantaine d'années. La première année, la base se forme, et la deuxième, les griffes poussent, pour cesser leur croissance et laisse place à une autre rangée.
Troisième raison, le poison emmagasiné dans sa queue. Pour l'alchimie, afin de créer poisons et remèdes. En réalité, ce poison n'est pas mortel, mais il s'agit d'une substance permettant de paralyser une partie du corps. Par exemple, une cuisse piqué bloquera uniquement la jambe. En revanche, si le cœur est atteint, la mort est inévitable si le poison ne peut être neutralisé en quelques minutes : l'organe s'arrête irrémédiablement. Mais ce poison est désormais connue de tous, et facilement soignable. Ce qui est intéressant est le poison en lui même. Injecté dans le sang ou le corps, il est nocif. Mais si il est avalé, il devient son propre remède.
Le tout pour un âge moyen de vingt années.
La bête inspire poète et artistes, comme attise haine et ressentiment du peuple. Possédant une vision nocturne parfaite, un sens de la discrétion inné et une grâce implicite, Cette bête est aussi vieille que le monde, l'observant de son regard doré, perçant.
Griffe d'obsidienne, rôdant jours et nuits. Griffe d'obsidienne, allant et fauchant la vie. De ta grâce, appelle artistes et poètes, De ton courroux, abat humains et bêtes.
| |
| | | Être Suprême
Messages : 300 Date d'inscription : 19/07/2014
| Sujet: Re: Bestiaire Du Monde Ven 24 Oct - 18:14 | |
|
La Chouette Tengu
L'oiseau Tengu. De nombreuses rumeurs courent sur l'origine de ce volatile, apparut il y a relativement peu de temps, au cours de ce cycle. D'abord parsemé à travers kyang, l'espèce apparut lentement, mais partout dans le monde, et devint aussi bien un oiseau commun, qu'un mystère à part entière. En effet, cette oiseau à pour habitude de ne sortir que rarement sous la lumière, gardant le plus possible son corps, ou tout du moins sa tête à l'ombre de toute vision humaine. Les éléments physiques que nous savons de cette créature, n'ont rien d'extraordinaire. Un plumage noir/gris et blanc, se fondant en un dégradé rapide a l'extrémité des ailes. La particularité du volatile est sa position. Au repos, il semble se tenir sur ses pattes, debout, le cou vouté et la tête mobile, comme un humanoïde difforme. La silhouette de sa tête fais penser à un Tengu de théâtre, sans que personne n'ai pu jamais en voir plus. Aucun cadavre de bête n'a jamais été retrouvé, aucune des bêtes n'ayant jamais montré son visage en pleine lumière. C'est à cause de cela que de nombreux mystères pullulent autour de cet animal.. Si il s'en agit bien d'un.
Dépeint comme une incarnation démoniaque, il serait ici pour observer le monde, sans bruit, afin de préparer quelque chose, ou tout simplement de surveiller le genre humain dans l'ombre.. Il s'agit d'une supposition comme d'une autre, la seconde principale étant que la Chouette Tengu est la forme nouvelle d'un homme, maudit ou changé par d'horribles expériences magiques et alchimiques, jalousant le commun de ses anciens semblable dans l'ombre..
Nul ne sait la vérité. Mais tout le monde sait que les chouettes Tengu sont présentes, partout, même si on ne le voit pas. Elles, nous voient. Chouette Tengu, toi qui observe, Chouette Tengu, qui se montre avec réserve. Observateur et non acteur, Tu te dévoileras quand viendra l'heure.
| |
| | | Être Suprême
Messages : 300 Date d'inscription : 19/07/2014
| Sujet: Re: Bestiaire Du Monde Sam 25 Oct - 0:51 | |
|
Le Sigre du Tsian
Le Sigre du Tsian. Une bête aussi majestueuse que connue, aussi crainte que respectée. Le passé de cette race est chargée d'histoire, il ne peut en être autrement pour le symbole de tout un empire. La bête est reconnue comme intemporelle, éternelle et omniprésente. Plus vieille que l'homme, plus sage que cette race humanoïde, elle a néanmoins accompagné tout un peuple et son souverain aussi loin que les écrits peuvent en témoigner. Penchons nous d'abord sur l'aspect physique de cette noble race. Le mâle et la femelle diffèrent totalement, le mâle optant pour une stature de force et de majesté, la femelle penchant pour la souplesse et la grâce. Les seuls point communs sont leur appartenance à la race féline, et leur couleur de pelage. Les érudits du monde entier se demandent encore aujourd'hui comment une même race peut présenter autant de différence d'un sexe à l'autre. *** La femelle possède une silhouette fine et élancée, des griffes acérées, présente pour trancher et déchiqueter la chaire avec aisance. Des pils recouvrent l'intégralité de son corps, parsemés de rayures noires jusqu'au bout de la queue touffus, encore plus dense au bout de cette dernière niveau pilosité. La bête mesure environ dans les trois mètres de longueur, avoisinant les quatre vingt kilos une fois la taille adulte atteinte. Légère, agile, dotées de moustache longue et sensible, cette bête sent les choses plutôt qu'elle ne les perçoit, comme un sixième sens, une appréhension, une lecture de l'avenir aléatoire mais juste, vous diront ceux qui étudient la bête.. Hauteur: Environ un mètre soixante dix Longueur: environ trois mètres cinquante Poids: Environ cent kilos *** Le mâle est radicalement opposé. Il est une incarnation de la nature, une véritable force brute, possédant des sens aiguisés et des capacités physiques hors normes pour un être vivant, si bien que de nombreux hommes considère un Sigre mâle comme une incarnation des divinités, aussi de part sa rareté.. Le mâle n'a en majeur partie pas de poil, ces derniers se développant au bout de la queue, derrière les pattes et autour du cou, sur son poitrail et enfin sur le visage, pour finir sur une légère crinière. Les poils sont ainsi blanc, tandis que le cuir extrêmement robuste de la bête est noir. Ce qui frappe chez cette bête, est la posture de cette dernière, à cheval entre celle d'un tigre et d'un gorille. Car en effet, ses pattes avant sont de véritables bras d'ogres. Rien dans le règne animal commun n’égale la force de cette créature, capable d'ouvrir une armure en deux en quelques secondes. Les griffes que possèdent le mâle ne servent pas à déchiqueter, mais a pénétrer en profondeur, puis à s'accrocher sous la chair quoi qu'il en coute. Cette accroche efficace et cette force peuvent permettre de démembrer aisément la proie. Et pourtant, la n'est pas la plus grande menace provenant de la bête. Sa mâchoire. La puissance dans sa gueule donne une pression équivalente à plus deux cents kilos. Contrairement à sa femelle, il ne se repose pas sur un sixième sens, mais sur une vue, une ouïe et un odorat hors normes. Il peut entendre, sentir et surtout voir à plus de six cent mètres de distance, ce qui en fait le plus grand chasseur du monde terrestre. Il est aussi le seul ennemi naturel des Griffes d'Obsidienne, dont il fait la traque son but premier contre des individus isolés, laissant les groupes en paix, en cohabitation parfaite. Il a même été donné à un aventurier d'observer un Sigre mâle en présence de deux Griffes d'Obsidiennes, les trois félins en pleine sieste, côtes à côtes. Hauteur: Environ deux mètres Longueur: environ quatre mètres cinquante Poids: Atteint aisément les deux cents trente kilos *** L'animal, qu'il soit mâle ou femelle, ressent la nature profonde d'un vivant. Bon ou mauvais. Tel une incarnation de la justice chaotique, il ne laisse aucune trace ni aucune chance à ses proies, tel un vengeur pacificateur. La reproduction est un problème pour beaucoup d'érudits au sujet des Sigres, bien qu'aucun problème d'extinction n'ai jamais été présent. En effet, les mâles sont des forces de la nature, mais au prix de bien des sacrifices. Les mères ont toujours une porté d'un mâle et d'une femelle, la bambine étant recueilli et élevé avec sa mère, le jeune garçon abandonné dans la forêt, livre à lui même au bout de quelques jours. Les survivants deviennent les hérauts que non connaissons aujourd'hui, mais nous comptons un mâle pour quatre femelles de part l'empire du Tsian. Car cette bête ne vit bien qu'au sein de ce royaume. Néanmoins et heureusement, les tribus de Sigre ne sont pas rare dans l'Empire. Ou plutôt, disons que malgré leur faible nombre, elles sont très remplis. Il n'est pas rare de voire un groupement d'une centaine d'individus dans une forêt, ou une grotte. De plus, la race possède une longévité hors normes, une femelle peut atteindre les quatre vingt ans , tandis qu'un mâle à déjà vécu deux cent ans. Pour preuve, le premier empereur de Tsian.. Car ce culte envers la bête, ainsi que la source du symbole du Tsian provient d'un histoire aussi belle que forte. Tchingis Tchung. Le premier Khagan du Tsian. Lors de ses voyages pour unir les Khan, il rencontra en chemin une caravane attaquée par un Sigre. En ce temps, cette bête n'avait pour appellation que Sigre, et non Sigre du Tsian. La bête d'ordinaire juste et calme, venait d'éventrer le cheval du couple de marchands, horrifiés. Tchingis approcha la bête, sans crainte, qui s'avançait, croc dehors.. avant de tourner autour de l'homme. Ce dernier avança le plat de sa main, et, parla à la bête d'une voix puissante et autoritaire, mais aussi douce et compréhensive. Parlait-il à la bête ? Pouvait-il la comprendre ? Ses hommes n'en croyaient pas leurs yeux lorsqu'il pu toucher, puis caresser la bête qui s'allongea en soupirant un rugissement d'acceptation. Puis le Khagan suivit la bête, l'amenant a l'ancien terrier de la force de la nature. Un carnage. Toute sa meute était décimée. Aucune ne fut épargné. Le plus atroce, était les mutilations, et le dépeçage sans borne des braconniers. La nuit les avait surpris, sans occasion de riposte. Le deuxième mâle de la meute avait même perdu ses pattes avant. De retour de son voyage, l'ordre fut proclamé. Tout braconnage des Sigres devenait interdit. Le Sigre devenait symbole du futur empire, et Sigre n'avait plus lieu d'être, sans sa nouvelle appellation : "Sigre du Tsian.". La bête ne quittait plus son maitre. Garde du corps et ami, animal de compagnie et gardien.. A la mort du Khagan, le premier Sigre du Tsian impérial ne quittait pas son poste, et gardait les deux générations suivantes de la royauté, ne dérogeant à aucun de ses principes, jusqu'à rendre son dernier souffle. Comme chacun de sa race, il restait fière, debout, jusqu'à ce que ses paupières se ferment, mourant debout, sans flancher, à coté de la tombe de son maître initial. C'est à ce moment la, qu'une nation entière pleura la mort d'un animal, et qu'un peuple arpenta les rues pour réclamer une tombe pour la créature. Les dirigeants de l'empire n'avaient pas à se faire prier. La créature fut comparé à une divinité lors de son enterrement, et intronisa une nouvelle loi, une nouvelle tradition. Chaque dirigeant impérial devait posséder son propre Sigre du Tsian, car depuis la rencontre qui scella le destin de ces deux races, chaque habitant de Tsian entretient une relation paisible avec les Sigres du Tsian. C'est même à cela qu'est reconnu un membre puissant de la famille impériale, par rapport à son égal animal, son propre Sigre du Tsian. Un homme devra trouver un mâle pour l'accompagner, une femme une femelle. Mais malgré leur nombre, il ne s'agit pas de trouver n’importe lequel de l'espèce, non.. On raconte qu'un lien unit les descendant de Tchingis et les descendants du premier Sigre du Tsian impérial..
Ô Sigre du Tsian, dont rien n’égale la patience. Ô Sigre du Tsian, dont rien n’égale la prestance. Compagnon d'un peuple, compagnon d'un empire. Compagnon du meilleur, compagnon du pire.
Tu n'es rien de plus que l'égal d'un empereur, Tu n'es rien de moins qu'un dieu dans nos cœurs. Ô Sigre du Tsian, toi qui est dans nos prières, Ô Sigre du Tsian, toi qui traverses les ères.
Né depuis le commencement, depuis la première ère, Né depuis le commencement, pour survivre à nos pères. Fils de la nature, gardiens d'une dynastie, Fils de la nature, gardien de nos vies.
Dieu sans couleur, compagnon de nos Khagan, Dieu sans couleur, gardien de l'Empire Tsian. Ta grâce bestiale est tel ton tempérament, Ta grâce animale est tel le passage du temps.
| |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Bestiaire Du Monde | |
| |
| | | | Bestiaire Du Monde | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|